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Mise en service d'un point de présence internet collectif dans le Borgou : Le Dg/Absu-Cep sort N’Dali de l’enclavement numérique

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Le point de présence internet collectif de la commune de N’Dali a été inauguré le 1er Avril 2016 par le Directeur général de l’Agence béninoise du service universel des Communications électroniques et de la poste (Absu-Cep) Emile Kougbadi. La cérémonie de mise en service de cet ouvrage a connu la présence du Directeur général de ‘’Alink Telecom’’,Tehua Kouakou Kossounou, le Directeur du Ceg1 N’Dali Taîrou Mora Kora et du Maire de cette localité Gaston Yorou.

L’Agence béninoise du service universel des Communications électroniques et de la poste (Absu-Cep) poursuit ses efforts concourant à faire du Bénin le quartier numérique de l’Afrique. Ainsi, après  Agbangnizoun dans le Zou et Ouèssè au niveau des Collines, N’Dali, une localité du département du Borgou est délivrée de l’enclavement numérique depuis le vendredi 1er Avril 2016. Ceci, grâce au projet de création de point de présence internet collectif dans cette commune. Un projet élaboré et mis en œuvre par l’Absu-Cepque dirige Emile Kougbadi. Cet ouvrage  permettra à N’Dali de combler le déficit d’accès internet dans un rayon de 25 km. « Malgré l’importance stratégique du secteur des communications électroniques et de la Poste, la population béninoise en déficit d’accès est encore très importante », a précisé le Dg/ l’Absu-Cepavant d’ajouter que cette situation est encore plus critique en ce qui concerne l’Internet qui affiche le plus bas taux de pénétration. En se basant sur les statistiques de l’Union internationale des télécommunications (Uit), l’étude pour la définition de la stratégie du service Universel des communications électroniques et de la poste (juin 2013) évaluela population en déficit d’accès à l’internet à environ 4 millions, soit 93% de la population en âge d’effectuer la navigation. D’un coût global de 145.989.258 F Cfa, et d’une durée de 12 mois, ce projet vise, dans sa première composante à faciliter l’abonnement internet fixe haut débit aux différentes structures, organisations et services déconcentrés de l’Etat opérant dans la commune à des coûts non compétitifs. La deuxième composante prend en charge toutes les personnes qui sont financièrement et technologiquement exclues de l’accès à l’internet fixe. Il s’agit des particuliers (élèves, enseignants, artisans, producteurs, professionnels de divers domaines) qui désirent accéder à l’information dont l’internet en est la ressource incontournable de nos jours. Le centre   multimédia internet de ce projet prend en compte les formations à l’informatique (informatique de base et internet), l’accès à internet suivant une grille tarifaire basée sur le temps à prix subventionnés, les services d’impression de documents numériques et les services de numérisation de documents (scannage). Dans leurs interventions, les différentes personnalités ont promis au nom des bénéficiaires une utilisation judicieuse de cet ouvrage pour l’essor de leur localité.  

C.Com


Grogne à Bénin Télécoms : Le Syltra-Bt dénonce un recrutement illégal

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Des bruits de bottes se font à nouveau entendre à Bénin Télecoms. Les partenaires sociaux de la maison désapprouvent la procédure de dénationalisation de la structure et les recrutements en cours actuellement. Le Syndicat Libre de Benin Télécom Sa (Syltra-Bt) est monté au créneau, lundi 11 avril 2016, pour dénoncer une violation des textes en vigueur. Pour le Sg/Syltra-Bt, Brice Agossou malgré, les difficultés de payement des salaires et la procédure de dénationalisation illégale de Bénin Télécoms SA engagée dans la précipitation, qui est dans sa phase finale, les directions se précipitent pour faire un recrutement de parents et amies proches. (Lire l’intégralité de leur manifeste)

Cotonou, le 11 avril 2016

MANIFESTE DU SYLTRA-BT AU SUJET DU RECRUTEMENT

Depuis plus d’un an, par une gestion calamiteuse et une navigation à vue sur la conduite des réformes, la direction de Bénin Télécoms SA n’arrive plus à payer l’intégralité de nos salaires.

Malgré, les difficultés de payement des salaires et la procédure de dénationalisation illégale de Bénin Télécoms SA engagée dans la précipitation, qui est dans sa phase finale, les directions se précipitent pour faire un recrutement de parents et amies proches des DG de Bénin Télécoms SA.

Après les cas de recrutement de plus d’une dizaine d’agents à Libercom SA avec Idrissou DJIMA, c’est aujourd’hui le tour de Bénin Télécoms Services et Bénin Télécoms Infrastructures sous les orientations du DG Bénin Télécoms Infrastructures SA et Président du Conseil d’Administration de Bénin Télécoms Services SA, Djalil ASSOUMA que la fausse procédure se conduit dans l’opacité en violation de la norme.

Peuvent-ils justifier le recrutement en violation de notre convention collective (article 11), par le manque du personnel ? Si nous savons que c’est eux même qui ont organisé et fait le transfert du personnel dans les différentes entités. Et même dans les entités, la mauvaise répartition du personnel dans les postes et emplois avait pour but de baisser la productivité par démotivation du personnel.

Venus par l’ANPE, les uns en stage, d’autres pour un contrat de trois mois, les directions veulent mépriser les règles d’intégration du personnel d’appoint, pour se voir condamner à recruter les leurs.

Nous avons tous des parents et amis. Même si la pertinence de recrutement peut être prouvée par endroit, les Conseils d’Administration en cours de convocation, ne doivent pas cautionner cette mascarade.

C’est pourquoi le SYLTRA-BT demande aux Directions de Libercom, de BTI et de BTS de :
  surseoir à tout recrutement par népotisme ;
  renoncer à ce recrutement jusqu’à la fin de la privatisation illégale ou non de Bénin Télécoms SA.

Les Directeurs de Libercom, Bénin Télécoms Services et Bénin Télécoms Infrastructures seront tenus pour responsables de toutes les déconvenues s’ils persistent à faire ce recrutement. Ils devront plutôt s’atteler à nous payer l’intégralité de nos arriérés de salaires.

Plus rien ne sera plus comme avant, c’est ça notre rupture !

Le Secrétaire Général du SYLTRA-BT

Asséréou Brice AGOSSOU

Contentieux dans le secteur des Gsm au Bénin : Sévérin Adjovi perd définitivement face à Moov

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Occupée par la dernière élection présidentielle  au Bénin, la   presse   béninoise  n’a pas couvert   le bras de fer judiciaire ayant opposé Etisalat Bénin S.A. à SARCI. En effet ce vieux contentieux a été remis au goût du jour par le Maire de Ouidah dans cette période préélectorale pour revenir dans la partie.

Etisalat Bénin, précédemment détenu par le groupe émirati Etisalat, a été racheté fin 2014 par le groupe Maroc Telecom dans un jeu d’écriture comptable qui a vu Maroc Telecom lui même être racheté par Etisalat. Cette société née sur les cendres de Telecel Benin S.A. opère via le réseau de téléphonie Moov. SARCI, de Sévérin Adjovi qui a donc attaqué Etisalat Bénin en justice pour obtenir plus de 200 milliards de FCFA pour son éviction de la société Telecel Bénin et a procédé à la saisie des comptes au cours du Mois de Décembre et par la suite privant les employés et fournisseurs de revenus sur la période de fête de fin d’année et créant une asphyxie économique sans précédent puisque certaines saisies furent étendues aux comptes des distributeurs de la marque. Sa prétention portait sur le fait qu’étant associé dans Telecel Benin, filiale d’Atlantique Telecom, vendue à Etisalat, il avait naturellement droit dans la nouvelle entité Etisalat, aujourd’hui détenue par Maroc Telecom. En instance comme en appel, les juges ont rejeté cette prétention et levé les saisies opérées sur les comptes d’Etisalat Bénin. Selon les juristes, même dans l’éventualité d’un recours en cassation, le juge de la Cour Suprême ne statuant que sur la forme, SARCI a perdu définitivement la partie au fond.

Cette décision venue dans ce contexte de relance des activités économiques à l’orée d’un nouveau mandat politique, va permettre à l’investisseur marocain de travailler en toute sérénité sur des projets novateurs comme le déploiement de la 4G ou l’amélioration des offres Internet, à l’instar des autres opérateurs. Cette situation avait même fait émettre des doutes sur la longévité de la présence du groupe marocain au Bénin dans le cas d’une éventuelle condamnation à verser les prétentions estimées à plus de 200 Milliards. Sans parti pris, ce verdict témoigne de l’indépendance de la justice au Bénin ce qui concourt à assurer  un climat des affaires favorable aux investisseurs dans notre pays. En effet, les investissements marocains aujourd’hui s’étendent du GSM (moov) aux banques (Boa-Bmce, Banque Atlantique, Attijariwafa) en passant par les eaux minérales (Oulmès-Fifa) et les assurances (Saham) sans compter leur présence dans les BTP. Quel aurait été l’impact du verdict contraire ?Le silence de cette affaire, aura aussi révélé le poids considérable qu’occupe la politique dans le domaine de l’information.

Worou  BORO

Prise de contact entre Rafiatou Monrou et le personnel de Bénin Télécoms Sa : Djalil Assouma présente un bilan élogieux des acquis

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Le ministre de l’Economie numérique et de la communication, Rafiatou Monrou, était hier lundi 25 avril 2016 dans les locaux de Bénin Télécoms Sa. Une visite de prise de contact avec le personnel, qui a permis au Directeur général de Bénin télécoms infrastructures (Bti) Sa, de dresser le bilan des acquis et d’exposer les besoins de la structure.

«La nouvelle dénomination de votre département ministériel me réjouit à plus d’un titre et dénote de l’importance qu’entend accorder le gouvernement du président de la République, monsieur Patrice Talon, au développement de l’économie numérique, pilier du développement économique et social du Bénin». Ainsi s’adressait hier, le Directeur général de Bénin télécoms infrastructures, à son hôte. Pour lui, la nomination de Rafiatou Monrou est une chance pour l’évolution du secteur de l’économie numérique.

Place sera ensuite faite à la présentation de l’état des lieux. A entendre, Djalil Assouma, les activités de Bénin Télécoms Sa ont connu pendant plusieurs années une tendance baissière induisant des indicateurs de performance peu reluisants. Dans la vision donc, a-t-il affirmé, de faire de Bti, la meilleure plateforme de service d’infrastructures de télécommunication et des Tic de la sous-région, des réformes ‘’profondes’’ ont donc été engagées et seront suivies d’une réorganisation institutionnelle, stratégique, organisationnelle, et technologique. Un plan de relance mis en œuvre a permis de réorganiser toute l’entreprise, d’accélérer la modernisation du centre de transit international et du centre Ip ; de développer des partenariats publics-privés ; de mettre sur le marché, des offres innovantes ; d’améliorer le taux d’utilisation des capacités sous-marines de 5% à plus de 25% ; de rationaliser les ressources de Bénin Télécoms SA. Ces réformes, a-t-il poursuivi, ont valu à Bénin Télécoms Sa la certification Iso 9001 version 2008 intervenue en juin 2015. Par ailleurs, deux projets structurants, a-t-il ajouté, ont également vu le jour. Il s’agit du «déploiement d’un réseau 4G/Lte…dans le cadre du réaménagement des fréquences dans la bande des 1800 Mhz…et du projet de Développement des infrastructures des télécommunications et des Tic (Pdi2t) pour permettre d’interconnecter en fibre optique, les 77 communes du Bénin avec la possibilité de développer de nouvelles applications dans les domaines du commerce, de l’éducation, de la santé, etc ». Toutefois, des goulots d’étranglement, va confier Djalil Assouma, demeurent. Entre autres, une tension de trésorerie due à la répercussion sur Bti de l’ensemble des dettes et engagements de l’opérateur historique suite à la création de Bts et Libercom avec des actifs sains ; des difficultés de jouissance pour Bti de ses domaines pour cause de défaut de titre de propriété sur plusieurs sites ; des dettes fiscales et sociales énormes ; des  coupures fréquentes de la fibre optique, etc. Fort de cela, des perspectives ne tarderont pas à se faire savoir. Le Directeur général de Bti Sa, va en effet souhaiter le positionnement de Bti comme principal opérateur d’infrastructures du Bénin ; le développement d’une forme de partenariat public-privé efficace pour permettre à l’entreprise de rapidement faire face à la concurrence et à la croissance du secteur. Cette forme de partenariat, a-t-il expliqué, passera par une ouverture du capital de la société aux privés.

Prenant la parole, pour sa toute première visite officielle après sa nomination, Rafiatou Monrou, va dire toute sa satisfaction. Pour tout propos, elle a convié le personnel de Bénin Télécoms Sa à plus d’ardeur au travail. Pour avoir été la directrice en charge de l’inter connexion, dans cette structure, elle a affirmé que Bénin télécoms Sa regorgent de talents. D’ores et déjà, elle veut compter sur leur soutien pour relever le défi. Celui de faire du secteur de l’économie numérique la source de croissance et de l’économie du Bénin.

Séminaire international de l’Uat à Cotonou : Quatre jours de réflexion sur l’essor du large bande en Afrique

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(L’Arcep œuvre à l’essor économique du Bénin par les Tics)
Cotonou abrite depuis hier, lundi 25 avril 2016, le séminaire international de l’Union africaine des télécommunications (Uat) sur le développement de la stratégie nationale large bande. Les assises qu’organise l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et de la Poste (Arcep-Bénin) se déroulent  jusqu’au jeudi 28 avril 2016, à Azalaï Hôtel de la Plage de Cotonou. Les travaux ont été officiellement lancés par la ministre de l’Economie numérique et de la Communication.
"Implémentation des résultats de la Conférence mondiale des radiocommunications 2015 (Cmr-2015) et développement de la stratégie nationale large bande ". C’est le thème qui focalise l’attention  de près de 200 participants  venus des 54 Etats africains membres de l’Uat pour le séminaire international sur les télécommunications. Au nombre desdits participants figurent des experts provenant des industries des communications électroniques, de l’Uat, de l’Uit sans oublier les cadres nationaux représentants l’Arcep-Benin, le Ministère de l’Economie numérique, les affectataires nationaux de fréquences…Au cours de cette rencontre qui se penche sur la situation du spectre mobile après la Cmr-2015, à travers la synthèse et les points clés de la conférence pour renforcer les moyens des décideurs, il sera surtout question de débattre du rôle du large bande dans le développement socio-économique. Ceci, avec en appui, les exemples des politiques publiques qui considèrent les Technologies de l’information et de la communication comme moteurs de transformation de la société.

Dans son mot de bienvenue, le président de l’Arcep-Bénin s’est réjoui de l’honneur fait au Bénin par l’Uat à travers l’organisation du présent séminaire avant de saluer la synergie caractéristique de l’Union. Une organisation qui témoigne de l’engagement de l’Arcep-Bénin à œuvrer pour l’essor du large bande au Bénin dont l’effet sur le développement socio-économique est capital. A l’en croire, tout change, tout évolue dans les télécommunications et il est impératif de s’adapter aux exigences du secteur.  Cette rencontre des cadres et spécialistes des questions de fréquences du large bande permettra aux pays qui ne sont pas encore dans le système de large bande à mettre en place une stratégie nationale de développement. Quant au secrétaire général de l’Uat, Abdou Karim Soumaila, il a souligné la nécessité de développer la télévision numérique terrestre, la large bande en Afrique. Considérée comme un catalyseur de l’économie, il a appelé à la réduction de la fracture numérique en facilitant l’accès et l’usage de l’internet. Selon ses dires, la stratégie large bande reste est une aptitude pour les réseaux actuels et futurs afin d’écouler des débits importants en vue de permettre aux usagers d’utiliser avec aisance les services variés que leur offrent les technologies actuelles et futures.

Procédant à l’ouverture du séminaire, la ministre Monrou Rafiatou a évoqué la pertinence du thème et son importance dans la problématique du développement de l’économie numérique. « La question de l’utilisation rationnelle des ressources en fréquences mérite d’être étudiée avec une attention particulière», a-t-elle confié avant d’inviter les participants à œuvrer de façon collégiale à une bonne approbation des résultats de Cmr-15 ainsi qu’à l’étude des mécanismes les plus adéquats pour un réel essor du large bande en Afrique.


Aziz BADAROU

Partenariat entre l'ABSU-CEP et la Poste du Bénin : Les centres communautaires d'accès aux TIC d'Azovè et de Ouaké ouverts au public

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(Emile KOUGBADI dote Zè d'une bibliothèque numérique)
Les centres communautaires d’accès aux Technologies de l’Information et de la Communications (TIC) d’Azovè et de Ouaké ont été mis en service par le Directeur de Cabinet du Ministre de l’Economie Numérique et de la Communication Salomon ODJO, le Directeur Général de l’Agence Béninoise du Service Universel des Communications Electroniques et de la Poste (ABSU-CEP) Emile KOUGBADI les 3 et 5 mai 2016. Ceci, en présence des différentes autorités locales et du Directeur Général Adjoint de la Poste du Bénin Samuel OGNIBO en raison du partenariat qui lie sa structure à l’ABSU-CEP. Mais deux jours avant, la bibliothèque numérique du Ceg Gbéto sis dans la commune de Zè a été l’objet du même exercice.

Les questions liées aux Technologies de l’Information et de la Communications (TIC) et surtout les avantages de l’outil internet ne constitueront  plus un sujet tabou aux yeux des populations des communes de Zè, d’Aplahoué et de Ouaké.  Fruit des efforts du personnel de l’Agence Béninoise du Service Universel des Communications Electroniques et de la Poste (ABSU-CEP), la bibliothèque numérique du Ceg Gbéto est un ouvrage, l’un des trois du genre, réalisé dans le cadre du projet pilote de mise en place de bibliothèques numériques dans les communes de ZE, de DASSA-ZOUME et de BEMBEREKE. Elle contribuera à la généralisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) dans le système éducatif. L’usage de cette bibliothèque servira à pallier les difficultés du volet  de l’éducation à l’image des secteurs de la santé et de l’agriculture, dans le cadre des interventions de l’ABSU-CEP. « Le projet pilote de mise en place de bibliothèques numériques vise à accroître l’offre des services TIC dans les établissements de l’enseignement secondaire général et de la formation technique et professionnelle particulièrement dans les zones en déficit d’accès », a précisé le DG de l’ABSU-CEP Emile KOUGBADI avant d’ajouter que ce projet s’inscrit dans le cadre du document de Stratégie et du Plan d’actions Intérimaire du Service Universel des Communications Electroniques et de la Poste et du Plan de Travail Annuel 2015 de l’ABSU-CEP.

Contenu des ouvrages

D’un coût global de 7.218.387 FCFA, la bibliothèque numérique du CEG Gbéto est composée de 10 ordinateurs portatifs, 1 écran interactif avec projecteur, 1 serveur de stockage et d’1 poste administrateur. En réalisant ce projet dans le Collège d’Enseignement Général de Gbéto, l’ABSU-CEP œuvre ainsi à améliorer la préparation des fiches des enseignants par l’usage de la bibliothèque numérique et élever le niveau de compréhension des apprenants dans les différentes séries et filières par l’usage de la bibliothèque numérique.Après l’installation de la bibliothèque numérique dans cet établissement, l’ABSU-CEP a procédé à la formation des enseignants à l’usage et à l’administration de cet important outil de développement. Ces derniers devront à leur tour dispensé cette formation à leurs apprenants. En présence de ses collaborateurs, du Directeur de cet établissement scolaire Constantin Gbèto, du Directeur de l’informatique et du pré-archivage du Ministère de l’enseignement secondaire Bienvenu BLASSOU, de l’ancien ministre de la Communication Jean Gbèto DANSOU, des élèves et leurs parents, Emile KOUGBADI a exhorté les bénéficiaires à prendre grand soin des équipements acquis et à en faire un bon usage.

Azovè et Ouaké disposent de leur centre communautaire d’accès aux TIC

Fruit du partenariat entre l’ABSU-CEP et la Poste du Bénin, les centres communautaires d’accès aux TIC d’Azovè et de Ouaké sont devenus une réalité à l’image de ceux de Malanville et de Glazoué pour le bonheur de nos populations. En fait, conformément à la vision indiquée par le gouvernement et à sa mission qui est de faire des Communications Electroniques et de la Poste, un levier de croissance économique et de réduction de la pauvreté, l’ABSU-CEP s’est engagée aux côtés de ses partenaires à garantir aux communautés démunies l’accès aux services de téléphonie, d’internet et des technologies de l’information et de la communication ainsi que les services postaux et financiers de base. C’est donc à juste titre que, l’ABSU-CEP a inscrit en priorité dans son Plan de Travail 2015, la réhabilitation de certains locaux de La Poste du Bénin SA en vue d’en faire des centres communautaires d’accès aux TIC. Les centres communautaires d’accès aux Technologies de l’Information et de la Communication de l’agence postale d’Azovè et de Ouaké marquent des infrastructures répondant aux normes et standards en la matière. Alimentée en énergie par des panneaux solaires, chacun de ces centres  est composé de 15 ordinateurs, 1 photocopieur multifonction (imprimante, scanner, photocopie, etc..) et 1 poste administrateur. Des services tels que le scannage des documents, la formation en informatique, la photocopie et les recherches sur le net pour ne citer que ces activités sont fournies aux populations au niveau de ces centres qui fonctionnent à travers l’équipement solaire et de l’installation de la VSAT. En réalisant ce projet, l’ABSU-CEP entend contribuer à élargir l’accès des populations des zones mal desservies aux services technologiques à valeur ajoutée et renforcer les capacités de La Poste du Bénin SA à réaliser sa mission d’opérateur désigné pour la mise en œuvre du service universel postal. Au-delà des infrastructures et des équipements, il est prévu des mesures  en termes de formation et de sensibilisation pour accompagner les populations de ces localités dans la prise en main et l’usage judicieux des ressources mises à leur disposition.  A coup sûr, ce projet impactera de façon positive le quotidien des habitants de la commune d’Aplahoué et de Ouaké et offrira des opportunités nouvelles à nos concitoyens. Soulignons que les cérémonies d’inauguration de ces joyaux ont aussi connu la présence du Chef d’Arrondissement d’AzovèHypolite NATABOU et du Premier Adjoint au Maire de OuakéRazack SEIBOU MAKO qui ont promis au nom de leurs administrés un bon usage de ces ouvrages.

Dernier Tweetup‬‬ consacré à l’élection présidentielle de 2016 : L’Ab-Bénin évalue le projet « BéninVote2016 »

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L’Association des blogueurs du Bénin (Ab-Bénin) a organisé en collaboration avec la plateforme électorale des Organisations de la société civile (Osc) du Bénin, son cinquième et Dernier ‎Tweetup‬‬ consacré à l’élection présidentielle de 2016, samedi 07 mai 2016. L’occasion pour les membres de l’Association des blogueurs du Bénin, notamment l’équipe de pilotage du projet Bénin Vote 2016, les e-observateurs et aussi d’autres curieux de faire ensemble le bilan de cette initiative inédite. L’occasion a également été saisie pour se projeter dans l’avenir et définir de nouvelles perspectives. Notons que dans le cadre dudit projet visant à garantir la transparence de la présidentielle de 2016, il a été initié et organisé un atelier de formation à l’intention des e-observateurs du 22 au 23 janvier 2016 aux Résidences Céline Hôtel. Ce qui a facilité une amélioration des connaissances et compétences des e-observateurs du Bénin vote en matière de couverture d’évènements par les médias sociaux (blogs, twitter, facebook, etc. ). Il a été donc question d’outiller  vingt (20) points focaux en sept (07) modules  sur la rédaction d’articles  d’actualités et de blog, l’interview, le photojournalisme, les médias sociaux et la communication sur les élections. Les 20 e-observateurs ont été formés avec les outils du Web 2.0. Il a été également initié plusieurs rencontres des utilisateurs des outils du Web 2.0 et qui ont permis à l’Ab-Bénin de relever les dix pièges à éviter sur les réseaux sociaux le jour du scrutin présidentiel. Ainsi, les informations fiables et vérifiables provenant des e-observateurs ont été instantanément publiées, le jour de l’élection, sur le site de la plateforme www.vote229.org. Au cours du dernier Tweetup, les utilisateurs du Web 2.0 se sont félicités pour avoir contribué à la transparence du dernier scrutin présidentiel tout en amenant des internautes à avoir des comportements citoyens prônant la paix.  

A.B

Absu-Cep/ Mise en place de bibliothèques numériques au Bénin : Emile Kougbadi soulage les apprenants de Bembèrèkè

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L’Agence béninoise du service universel des Communications électroniques et de la poste (Absu-Cep) fait de l’accès à l’internet un enjeu majeur. Après des actions dans les secteurs de la santé et de l’agriculture, elle dépose ses valises dans le secteur de l’éducation. Le constat étant que le déficit d’accès est surtout remarquable dans ce secteur en général, et dans le sous-secteur de l’enseignement secondaire général et de la formation technique et professionnelle en particulier. Aux dires du directeur général de l’Agence, Emile Kougbadi, en réalisant ce projet dans le Collège d’Enseignement Général1 de Bembèrèkè, l’objectif est d’améliorer la préparation des fiches des enseignants par l’usage de la bibliothèque numérique et d’élever le niveau de compréhension des apprenants dans les différentes séries et filières par l’utilisation de celle-ci. Du coup, après l’installation de ladite bibliothèque, il a été procédé à la formation des enseignants à l’usage de cet ‘’important’’ outil de développement.D’un coût global de 7.218.387 Fcfa, cette bibliothèque numérique, est composée de 10 ordinateurs portatifs, un écran interactif avec projecteur, un serveur de stockage et un poste administrateur. Procédant à son inauguration,le Dg de l’Absu-Cep, invitera donc les bénéficiaires à un usage judicieux.

Rappelons que ce projet pilote de mise en place de bibliothèques numériques vise à accroître l’offre des services Tic dans les établissements, et s’inscrit dans le cadre du document de Stratégie et du plan d’actions intérimaire du Service universel des Communications électroniques et de la poste et du Plan de travail annuel 2015 de l’Absu-Cep.

Cyrience KOUGNANDE


Généralisation des TIC dans l’éducation : Mtn et l’Absup-Cep dans la vision « Un apprenant, un ordinateur »

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(Un projet de 2000 ordinateurs lancé demain jeudi)
Dix (10) ans déjà que la Fondation Mtn a vu le jour au Bénin ! Après une bonne décennie dans les œuvres sociales et dans maints domaines, la Fondation, dans la fièvre de cet anniversaire,  entend se spécialiser dans l’éducation numérique. A ce titre, elle appuie l’Absu-Cep dans le cadre d’une vaste opération de distribution de 2000 ordinateurs munis d’une connexion de clé internet pour 1an dans le système éducatif au Bénin. Le lancement a lieu demain jeudi 12 mai 2016 à la salle des fêtes des Tours administratives.

C’est dans le cadre de son projet « Génération numérique » que la Fondation Mtn appuie l’Absu-Cep dans l’opération dénommée « Un apprenant, un ordinateur ». Pour Emile Kougbadi, Directeur général de l’Agence béninoise du Service universel des communications électroniques et de la Poste (Absu-Cep), « Cette opération consiste pour l’Absu-Cep à subventionner à hauteur de 85%, 1000 ordinateurs munis d’une connexion de clé internet pour 1an ». Et de préciser : «L’opération est accompagnée par le projet Génération numérique de la Fondation Mtn Bénin qui offre, à l’occasion, 1000 ordinateurs  à une centaine d’établissements d’enseignement public secondaire sur toute l’étendue du territoire ». Au-delà des élèves, cet outil sera également distribué à certains acteurs du réseau d’animation pédagogique comme les inspecteurs ainsi qu’à quelques universités, a annoncé Nicolas Gomez, membre de la Fondation Mtn et Directeur du Corporate services/Mtn-Bénin. Une première au Bénin ! « Le projet permettra aux enfants qui n’auraient pas eu la chance d’avoir cet outil entre les mains, très tôt déjà dès le primaire, de commencer par le connaître, l’utiliser. Et c’est un plus. « Participer à l’éducation des enfants du Bénin par le numérique, c’est participer directement au développement du pays parce qu’aujourd’hui tout passe par le numérique », fait savoir M. Gomez. Et quels sont les critères de sélection des bénéficiaires? « Au niveau des campus universitaires concernés,  les étudiants ciblés pour  l’instant, sont ceux qui ont besoin d’un ordinateur et  d’une connexion internet parce qu’ils sont en fin de formation, parce qu’ils veulent rédiger un mémoire, une thèse ou un rapport de stage ».  Nous avons également ciblés 110 inspecteurs de l’enseignement secondaire et 200 lycéens des séries techniques , informe le Dg/Absu-Cep. En ce qui concerne les 1000 ordinateurs de Mtn, il a fait comprendre que la répartition se fera dans 100 établissements d’enseignement secondaire, à raison de 10 ordinateurs par établissement. L’objectif visé étant que chaque Béninois ait un ordinateur, Emile Kougbadi a profité pour appeler les bonnes volontés à emboîter le pas à la Fondation Mtn. Mais avant, il a, à l’instar du Directeur du Corporate service de Mtn Bénin, invité les acteurs du système éducatif à prendre massivement part au lancement du projet prévu pour demain.

Entre autres interventions de la Fondation Mtn

Depuis 10 ans que la Fondation Mtn s’est lancée dans le social, les réalisations sont palpables. Dans le domaine de l’éducation, on peut noter la construction et l’équipement de bibliothèques simples comme numériques, des centres multi médias, beaucoup d’œuvres médico-techniques, la création de fermes agricoles, l’installation de panneaux solaires, etc. Ce qui fait de la Fondation Mtn, une fierté nationale.

 

Education numérique/Partenariat Fondation Mtn-Absu-cep : 2000 kits informatiques pour élèves, étudiants et inspecteurs

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La Fondation Mtn, dans sa logique de se spécialiser désormais dans l’éducation numérique après 10 ans d’action dans maints domaines au Bénin, a décidé d’accompagner l’Absu-cep dans une vaste opération de distribution de 2000 kits informatiques dans l’enseignement secondaire technique et au supérieur. Le lancement a eu lieu jeudi 12 mai 2016 à la salle des fêtes des Tours administratives. Trois ministres du gouvernement ainsi que les bénéficiaires y étaient.  

L’opération « un apprenant, un ordinateur » de l’Agence béninoise du service universel, des communications électroniques et de la poste (Absu-cep) vise la généralisation des Tic dans l’éducation et s’inscrit dans la vision du gouvernement de faire du Bénin un quartier numérique de l’Afrique à l’horizon 2025. C’est donc une opération qui cadre avec le projet « Génération numérique » de la Fondation Mtn. D’où son appui de 1000 ordinateurs à l’Absup-cep qui en subventionne 1000 autres aussi à hauteur de 85%. A en croire le Directeur général de l’Absu-cep, Emile Kougbadi, ce sont des kits « dont l’unité est composée d’un ordinateur portatif caractérisé par un écran 14 pouces avec l’anti virus kaspersky internet security installé, d’une clé 3G Mtn avec un forfait de données de 1G0 par mois pendant un an, d’une souris sans fil, d’une sacoche griffée Absu-cep, le tout assorti d’une garantie d’un an ». Il poursuit en faisant comprendre que le projet est mis en œuvre au profit des centres universitaires et lycées techniques situés en zones rurales du pays, à savoir Natitingou, Djougou , Kandi, Ina, Tchaourou, Abomey, Kétou, Pobè, Lokossa , Aplahoué, Savalou, Dassa-Zoumè et Savè sans oublier les campus universitaires d’Abomey-Calavi, Parakou et Porto-Novo. « La répartition de ces kits est réalisée par chacun des ministères bénéficiaires (je veux nommer le Mesrs, le Mestfp) et se présente comme suit : -sept cents (700) kits individuels destinés aux étudiants en fin de cycle dans les centres universitaires de l’enseignement supérieur. –Trois cents (300) kits individuels dont 200 destinés aux élèves en fin de formation dans les lycées techniques ciblés et 100 destinés aux inspecteurs de l’enseignement secondaire et technique », a-t-il ajouté tout en précisant qu’il y aura également des mesures d’accompagnement pour soutenir le projet, notamment la formation des enseignants et apprenants sur l’utilisation de l’outil informatique, le courrier électronique, l’utilisation des moteurs de recherche sur internet et le développement de contenus numériques pédagogiques.

La Fondation Mtn pour ce qui la concerne, entend également bien jouer sa partition. En tout cas, Nicolas Gomez, Directeur du Corporate service/Mtn-Bénin a rassuré que conformément aux instructions de la ministre en charge de l’économie numérique et de la Communication, marraine de l’événement, la sélection des écoles à même d’accepter le dispositif informatique à installer, sera faite dans toutes les communes du Bénin. Aussi, a-t-il confié que les points focaux seront formés pour assurer la durabilité du projet. Mtn rêvant d’un Bénin audacieux sur le plan numérique, selon son Directeur général Stephen Blewett, il n’a donc pas de raison que la Fondation s’arrête en si bon chemin. Prenant tour à tour la parole, les trois ministres à savoir Lucien Kocou en charge de l’enseignement secondaire, Marie Odile Attanasso du supérieur et Rafiatou Monrou de l’économie numérique ont apprécié à sa juste valeur le projet. Ils ont ainsi exprimé la gratitude du gouvernement à l’Absu-cep et à la Fondation Mtn. Idem pour les élèves qui ont promis de faire bon usage du matériel.

La remise sur place de kits à certains inspecteurs a mis un terme à la cérémonie. Juste après, les officiels se rendus à Zogbo, précisément à l’école Alternative St Joseph pour la visite du projet pilote d’une classe numérique.

Journée Mondiale des Télécommunications et des Sociétés de l’Information : Le Bénin met l’entreprenariat au cœur de la manifestation

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A  l’instar des autres pays du Monde, le Bénin a célébré l’édition 2016 de la Journée Mondiale des Télécommunications et de la Société de l’Information (JMTSI) ce mardi 17 Mai au Palais des Congrès de Cotonou. Cette commémoration, organisée par la Direction Générale des Communications Electroniques et de la Poste (DGCEP) ayant pour premier responsable Géoffroy BONOU, a été lancée par le Directeur de Cabinet du Ministre de l’Economie Numérique et de la Communication Salomon ODJO. Elle a bénéficié de l’appui de plusieurs autres structures dont celles de l’Agence Béninoise du Service Universel des Communications Electroniques et de la Poste (ABSU-CEP) qui a pour Directeur Général Emile KOUGBADI.

« L’entreprenariat dans le secteur des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) au service du progrès social ». Tel est le thème de la Journée Mondiale des Télécommunications et des Services de l’Information (JMTSI) de cette année commémorée avec faste au Palais des Congrès de Cotonou. Une journée qui marque l’anniversaire de la signature de la première Convention télégraphique internationale et de la création de l’Union Internationale et des Télécommunications (UIT) célébrée tous les 17 mai de chaque année. Selon le Directeur de Cabinet du Ministère de l’Economie Numérique et de la Communication Salomon ODJO,  ce thème est en parfaite adéquation avec la vision du Président Patrice TALON pour le secteur des communications électroniques et de la poste exprimée dans son programme de société,  « Le nouveau départ » qui est d’utiliser les TIC comme catalyseur du dynamisme économique et de modernisation. Cet événement a servi une occasion d’échanges et de réflexion sur la contribution de l’entreprenariat du domaine des TIC à une croissance économique et inclusive. Les manifestations entrant dans le cadre de cette journée ont permis aux participants de promouvoir l’entreprenariat dans le domaine des TIC, constituer un réservoir important de nouveaux emplois, libérer le potentiel des jeunes innovateurs et des jeunes entrepreneurs dans le domaine des TIC, identifier les difficultés des jeunes entrepreneurs et de créer une dynamique pour que les jeunes entrepreneurs bénéficient d’appui institutionnel. Aussi, leur  ont-elles permis de faire connaître et mettre à profit les stratégies et initiatives pertinentes prises au niveau national pour accompagner les entrepreneurs dans le domaine des TIC, examiner l’impact de l’entreprenariat dans le domaine des TIC sur le progrès social et organiser des échanges entre les acteurs sur les initiatives nationales et les bonnes pratiques internationales au niveau de ce même domaine. Pluisieurs comnunications dont celle du Dg /Absu-Cep ont ponctué la rencontre.

13ème séminaire international du réseau Fratel : Harmoniser les connaissances pour un aménagement numérique territorial

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Le réseau Francophone de régulation des télécommunications (Fratel) tient depuis hier, mardi 24 mai 2016, son 13ème séminaire international à Bénin Marina Hôtel de Cotonou. Organisé par l’Autorité de régulation des communications électroniques et de la poste (Arcep-Bénin), ce séminaire qui dure deux jours, permettra aux participants d’apporter leurs contributions aux nouvelles politiques d’organisation et du partage des infrastructures pour le développement des télécommunications dans l’espace francophone. Les travaux ont été officiellement lancés par le Président de l’Arcep-Bénin, Marcellin Illougbadé.

«Quelles solutions concrètes, notamment de partage d’infrastructures, pour un aménagement numérique du territoire ? », tel est le thème autour duquel s’articuleront les différents travaux dudit séminaire du réseau Fratel. Venus de 48 pays membres du réseau, plus de 120 régulateurs du secteur des communications électroniques ont été mobilisés pour travailler et discuter des questions d’aménagement numérique du territoire, de partage d’infrastructures notamment les conditions du partage des réseaux et du génie civil, les montages financiers associés, la complémentarité des services et réseaux pour couvrir le territoire, et les outils tels que les systèmes d’information géographique pour la réalisation des plans d’aménagement numérique du territoire. Ainsi, du 24 au 25 mai 2016, ces derniers réfléchiront à la mise en place d’une politique commune pour mieux coordonner la gestion et le partage des infrastructures de télécommunications dans ces pays. Le séminaire sera meublé de trois tables rondes sur les thèmes « Quelle régulation économique dans un contexte de déploiement d’un nouveau réseau ? » ; « Quels outils de diagnostic de la situation numérique du territoire ? » et « Quel cadre règlementaire incitatif pour un partage d’infrastructures sur les marchés fixes et mobiles ? ». Aux dires du Président du Fratel, Azdine El Mountassir Billah, les réflexions visent à donner aux Etats, à travers les institutions de régulation, des outils de gestion et de développement harmonieux des infrastructures de télécommunications afin d’assurer l’accès facile aux services de base à tous. Après avoir rassuré des dispositions prises pour la bonne tenue du séminaire, le Président de l’Arcep-Bénin, Marcellin Illougbadé a confié que les présentes assises sont en phase avec le défi de l’enracinement de l’économie numérique et son rôle sur le développement de tous les secteurs. Il s’est, par la suite, dit convaincu de la pertinence des recommandations qui seront issues du séminaire avant d’exhorter les participants à plus d’assiduité aux travaux en vue d’une meilleure harmonisation des connaissances et expériences. Notons que les rideaux tombent sur le 13ème séminaire du Fratel ce jour.

Aziz BADAROU

Nouveau braquage à Cotonou : Un mort, des blessés gaves et une forte somme emportée

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braquage

Les braqueurs ont encore dicté leur loi hier mercredi 25 mai 2016. C’était à Cotonou, dans la zone de Missèbo. Les hors la loi ont attaqué un magasin dans la rue en face du festival des glaces. On dénombre un mort, plusieurs blessés graves et une forte somme d’argent emportée. La victime serait un ressortissant nigérien tireur de pousse-pousse. Les témoins rencontrés sur les lieux ont dénoncé la lenteur dans l’intervention des policiers qui ne sont arrivés sur lieux qu’après le départ des braqueurs, bien que l’opération ait duré environ 20 minutes. D’autres témoins ont fait état de la fuite des policiers qui étaient sur les lieux lors du drame. Les braqueurs viennent une fois encore de défier le régime du nouveau départ. Les ministres de l’intérieur et de la défense sont donc interpellés afin que des mesures soient prises pour pallier cet état de choses.

 T.A.

Réforme à l’ère de la rupture : A l’instar de l’eau et de l’énergie, l’internet, une urgence pour le développement

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gouvernance

Il n’est un secret pour personne, l’accès à l’internet est devenu aujourd’hui une exigence planétaire. L’internet est en passe de devenir unbesoin primaire pour les êtres humains, vu l’importance que revêt cet outil. Pour l'instant, la priorité reste l’accès à l’eau potable, à l’énergie, au logement, aux soins et à l’éducation pour tous. Mais d’ici quelques années, l’internet sera élevé au rang des priorités. Il n’est pas de domaine aujourd’hui qui échappe à l’internet : la santé, l’éducation, la science, la culture, et surtout les médias. Et justement à ce niveau, il se développe de nouvelles formes de technologies notamment, une large gammede services de médias audiovisuels à la demande, quicomprend la télévision de rattrapage ou la vidéo à la demande, gratuiteou payante. L’internet contribue significativement à la création de l’emploi et à la croissance économique. Cependant, l’Afrique en général et le Bénin en particulier, continuent de subir une fracture par rapport aux pays occidentaux. Le Bénin fait partie des tous premiers pays à initier des réformes en la matière avec l’acquisition du câble sous-marin. Mais le secteur est toujours à la traine malgré l’énorme besoin qui existe et surtout l’engouement des populations pour les Nouvelles technologies de l’information et de la communication. Il urge donc que les gouvernants se penchent sur la question en accordant des financements plus importants, nécessaires à l’élargissement de l’accès à Internet. Par ailleurs, la création locale de contenus et l’installation de câbles à haut débit faciliteront l’utilisation de l’internet, notamment à des fins éducatives. Et pour faciliter l’accès à l’internet, il est opportun que les coûts de télécommunications soient revus, à l’intérieur de l’Afrique et avec le reste du monde, ce qui contribuera à réduire la “fracture numérique”, ce fossé qui se creuse entre pays africains et ceux occidentaux.

Thomas AZANMASSO

Réflexions sur la stratégie de développement de l’économie numérique : Tiburce Chaffa, une compétence internationale écartée

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Il existe une expertise complètement mise de côté par les autorités béninoises depuis plusieurs mois.  Elle a pour nom Tiburce Chaffa. Une compétence établie  dans le domaine de l’économie numérique.

Plusieurs observateurs ont déploré l’absence de Tiburce Chaffa à l’ouverture de la rencontre des réflexions sur la stratégie de développement de l’économie numérique hier à Cotonou. Le gouvernement du Nouveau départ n’a pu associer ce jeune pétri de connaissances et d’expériences à l’initiative qui devrait contribuer au développement du Bénin. En février dernier, le gouvernement de Yayi Boni avait déjà ignoré Tiburce Chaffa lors du lancement du projet  Benin Smart City. Tout le projet avait été conçu à l’époque par Jules Dégila, ancien conseiller du Président de la République au numérique.

Qui est Tiburce Chaffa ?

Tiburce Chaffa a étudié “Technology Product Management” à General Assembly, la troisième Ecole d’entrepreneuriat technologique aux Etats Unis, à New York. Il est aussi détenteur d’un diplôme en Innovation Ventures creation de Columbia Business School.  Il est très jeune. Mais il s’est déjà construit une bonne réputation. Ce talent a en effet travaillé en tant que Business Analyst et traducteur pour Tata Consultancy Services, le géant indien des services IT en Inde. Il a contribuéà la formation de plusieurs jeunes qui animent actuellement l’espace numérique au Benin. Son entreprise a travaillé et mené à bien le MTN Apps Challenge 2014 et 2015.  MTN Apps Challenge, rappelons-le, est le plus grand concours de développement d'applications qui vise à identifier, et promouvoir les talents technologiques locaux et canaliser leurs idées en création d’emplois et de valeurs pour eux-mêmes et leur communauté. M. Chaffa a aussi développé quelques solutions relatives au processus d'incubation, qui vont changer le paysage de la technologie en Afrique.Il a par ailleurs travaillé pour le projet d’appui á l’entreprenariat des jeunes dans les domaines des TICs initié par l’Absu-Cep.

Tiburce Chaffa est aussi membre des Global Shapers, section jeunes du Forum économique mondial. Il a récemment dirigé, avec 49 autres shapers de toute l'Afrique avec succès la campagne #Internet4all. C’est une campagne qui visait la création d’une conversation entre toutes les parties prenantes (secteur privé, le gouvernement, la société civile) pour rendre l’internet abordable et accessible à tous les citoyens en Afrique. Il a d’ailleurs obtenu un accord de collaboration avec Internet Sans Frontières. Tiburce Chaffa, soulignons-le, était le seul Béninois ayant participé au Forum économique mondial sur la transformation digitale de l’Afrique durant lequel il a côtoyé les ministres de l’Economie numérique de la Cote d’Ivoire, du Togo, de l’Afrique du Sud et même le président  rwandais Paul Kagame. C’est une vraie compétence et les décideurs béninois gagneront beaucoup en l’associant aux réflexions en cours sur le secteur de l’économie numérique. Jeune et combattif, il est très sollicité. KLab et le Rwandan Board of Development, bras du gouvernement rwandais l’ont déjà approché pour les aider à détecter des cerveaux africains.

Mike MAHOUNA


MTN lance « Le 100 », un autre N° gratuit dédié aux requêtes de ses abonnés

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« Le 100 », un numéro court, gratuit, disponible 24h/7 et exclusivement dédié aux requêtes clients. C'est l'autre innovation du réseau de téléphonie mobile MTN pour permettre à ses abonnés de soumettre leurs préoccupations liées au réseau, aux produits et services. Cette nouvelle ligne mise en service il y a quelques jours, permettra d'augmenter la capacité d'écoute et de réception de requêtes clients. Elle vient à la suite du « 111 » que tous les abonnés connaissent et d'une série d'autres mesures qui ont pour objectif de faire de l'abonné le N°1. On peut citer par exemple un numéro whatsapp pour les clients V.I.P, une unité spéciale de gestion des requêtes clients sur Facebook  de 8h à 18h. Depuis 10 ans MTN œuvre tous les jours pour mieux satisfaire ses abonnés à travers la qualité de ses services. En réalité dans l'esprit des employés de MTN, ce n'est pas uniquement le réseau qui est le N°1 mais c'est aussi et surtout l'abonné. Ce souci de performance  justifie le fait qu'ils soient aujourd'hui plus de 3,5  millions de personnes à faire confiance au réseau. Ce qui fait de  MTN, l'opérateur de  Téléphonie Mobile le plus recommandé au Bénin. Et à l'échelle  des 21 pays du Groupe MTN, MTN Bénin  occupe le 2e rang en tant que filiale la plus recommandée sur son marché (Enquête externe Market Performance Research Trimestre 1 - 2016 – Groupe MTN). Consciente donc de cette place qu'elle occupe dans le cœur de ses abonnés, MTN s'est investi du devoir de toujours travailler à répondre efficacement aux requêtes des clients. Le numéro court « 100 » répond donc à ce souci d'être toujours en phase avec les besoins du client et de son slogan fétiche  « MTN, everywhere you go ».

 

Economie numérique : Avons-nous les fondations ?

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Il est une habitude de dire que le cordonnier est souvent mal chaussé mais cet adage traduirait dans la réalité un manque de professionnalisme et une approche fausse du marketing.

Lorsque la Présidence de la République a annoncé le forum Ennov 2016 pour doter notre pays d’une stratégie quinquennale de développement de l’économie numérique, il y a eu de la part de tous les observateurs une foi systématique dans la conviction du Gouvernement dans le numérique. Mais ce chèque en blanc mérite vérifications. Notre gouvernement est-il vraiment dans l’ère du numérique ?

Petite vérification sur les réseaux sociaux, le Président de la République ne dispose pas de compte officiel certifié. Seuls sont présents des comptes de campagne. La Ministre en charge de l’économie numérique est absente totalement. En comparaison avec nos voisins togolais, il y à rougir, avec un compte présidentiel actif et certifié. La Ministre Cina Lawson de l’économie numérique est une personnalité du monde numérique avec une activité conséquente. 83 282 personnes suivent le Président Faure Gnassingbé sur Facebook et 4111 sur Twitter. Il y a là tout au moins un engouement pour ces nouveaux outils qui peut justifier une vraie stratégie. L’analyse que cela inspire, c’est l’absence d’une vision au plus haut niveau mais surtout l’absence de fondations.

Les fondations à mettre en place sont de plusieurs ordres. Mais la première est de retourner aux leçons des nombreux projets liés à cette économie numérique. Quel bilan pour l’ABSU-CEP, l’AGENTIC, le projet e-Gouv et les nombreux autres projets ? Quelles sont les priorités du gouvernement en matière de communication numérique ? En sautant cette étape, l’on est revenu au fameux adage suivant lequel il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs. Notre gouvernement doit le premier poser les fondations de cette économie numérique. Des chiffres, en voici, 24 ministères à doter de sites Internet chartés et fonctionnels équipés de mails officiels et sécurisés, voilà du revenu pour les entreprises locales. Voilà une occasion pour ses entreprises locales de former davantage de développeurs et d’améliorer leur capacité. Mais plus encore, en l’absence d’attachés de presse et de chargés de communication, les ministres ont besoin d’une présence sur les plateformes numériques pour s’exprimer. Aujourd’hui c’est la rumeur qui informe et désinforme le Bénin. Entre les comptes parodiques et les comptes illégaux, il y a un travail à faire. Encore une occasion de fournir du travail à des agences digitales ou offrir à des gestionnaires de communautés, une expérience suivie de rémunération. Interconnecter SBEE et SONEB aux plateformes de paiement numérique, carte bancaire ou portemonnaie mobile, représente des actions concrètes qui ne requièrent ni plan quinquennal, ni assises dans des hôtels huppés.

La question reste toute entière, quitte au Président ou au Ministre de répondre à notre analyse via notre Twitter ou notre Facebook @MatinLibre.

M.M

Atelier de réflexion sur le numérique : Pourquoi Ennov 2 après Ennov 1 ?

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(La ministre de l’Economie numérique doit démissionner)
Ennov Bénin est-il simplement de la pure comédie ? Deux semaines seulement après l’organisation de Ennov Bénin 2021, une initiative présidentielle qui ambitionne de positionner le Bénin comme plateforme numérique de l’Afrique de l’ouest à l’horizon 2021, on apprend qu’en ce moment se déroule à Grand-Popo une autre assise sur le numérique sous la présidence de l’ancien ministre de la communication Désiré Adadja. Alors que Ennov Bénin 2021 avait pour but de définir la vision stratégique du Chef de l’Etat pour la transformation numérique du Bénin à l’horizon 2021, on se demande ce qui peut justifier l’organisation d’un atelier sur le numérique sans faire le bilan du 1er. Les deux jours de réflexion de Ennov Bénin 2021 auraient coûté à l’Etat la bagatelle de 450 millions de francs CFA. C’est vrai que là sur, on attend toujours la version du gouvernement. Mais ce qu’on sait, c’est que l’atelier a été organisé à Novotel Orisha dont tout le monde connait le propriétaire. Mais là n’est pas encore le problème. Pourquoi deux assises différentes sur le numérique en moins de deux semaines ? En même temps, on apprend que l’assise de Grand-Popo est directement gérée par le Palais sans l’implication du ministère de l’Economie numérique et de la communication. Comment expliquer cela si ce n’est une envie délibérée du pouvoir de se servir du prétexte du numérique pour saigner les caisses de l’Etat ?

Et si Rafiatou Monrou démissionnait ?

Visiblement la ministre de l’Economie numérique et de la communication n’est pas à son aise dans le gouvernement de la Rupture. En dehors de quelques lacunes qu’elle traine personnellement dans le domaine des TIC (à sa nomination, il était presque impossible de lui trouver un compte sur les réseaux sociaux), le gouvernement de la Rupture semble ne pas tenir compte de son avis avant d’opérer des changements dans son secteur. Elle ne serait  pas associée à la décision du remplacement du Dg/Ortb. Elle ne serait pas associée à l’organisation d’Ennov Bis qui se déroule en ce moment à Grand-Popo. Dans un courrier confidentiel du ministre des Finances, elle vient d’être désavouée dans sa décision unilatérale de suspendre le projet PDI2T de Bénin-Télécom Sa. Son manque de charisme pourrait bientôt lui faire perdre la direction de l’Absu-Cep qui passera sous la tutelle d’un autre ministère. Tout cela réuni en deux mois de gestion, suffit largement pour quelle démissionne. Ou à défaut, son mentor Sébastien Ajavon n’a qu’à la rappeler et proposer une autre compétence à sa place. Ceci dans l’intérêt de ce département ministériel censé conduire le Bénin de plain-pied dans le numérique.

B.H

Forum sur la gouvernance de l’internet au Bénin : Karine Gbaguidi Kérékou pour la sécurisation du numérique

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TIC

Du  16 au 18 juin dernier s’est tenu dans la salle de conférence de Bénin Télécoms, le 5e forum sur la gouvernance de l’internet au Bénin. Initiée par la présidente du FGI-Bénin Karine Gbaguidi Kérékou, cette rencontre a permis d’attirer l’attention sur les risques liées à l’utilisation de l’internet sur des terminaux non sécurisés.

Cadre multi-acteurs pour la gouvernance de l’internet, le Forum sur la gouvernance de l’Internet au Bénin (FGI-Bénin) s’inspire de la mission des Nations Unies d’organiser annuellement un forum de gouvernance de l’internet. Il se veut une plateforme global multi-acteurs de dialogue sur les enjeux actuels et futurs de la gouvernance de l’internet. Le forum vise à favoriser la viabilité, la robustesse, la sécurité, la stabilité et le développement de l’Internet dans les espaces géographiques. Cette exigence émane de l’agenda du sommet mondial sur la société de l’information tenue à Tunis en 2005 qui l’aborde en ses paragraphes 29, 72 et 73.

En effet, pour se connecter à internet, les utilisateurs se servent de différents terminaux comme les Androïds, Smartphones, Tablettes, ordinateurs de bureau ou portatifs. Souvent, soit ces terminaux ne sont pas du tout sécurisés, soit c’est le même mot de passe qui est utilisé sur chacun d’eux. Or, on oublie que les incidents de sécurité sur internet ne sont découverts que longtemps après qu’ils aient commencé, un peu comme l’hypertension ou le cancer.

Pour la présidente du FGI-Bénin, le cyber danger est permanent et doit préoccuper les autorités au plus haut niveau. C’est pourquoi elle appelle à un minimum de dispositions à prendre pour se protéger et protéger ses biens. Car, le numérique est devenu un marché planétaire et tous ceux qui s’y aventurent s’exposent à de nombreux risques. « Que fait-on pour s’assurer qu’il n’y a pas de virus colporté et distribué par tous les  transitaires qui s’affairent autour des déclarants en douane. Combien d’entreprises ont des antivirus à jour sur leurs PC ? Combien d’entreprises utilisent des versions authentiques de logiciels ? » Sont en effet quelques questions qu’il faut se poser, a-t-elle souligné avant d’ajouter que la sécurité de l’information, est un peu comme une question de santé publique.

M.M

Promotion des énergies renouvelables : Benin FGY Energy ouvre ses portes à Cotonou

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Benin FGY Energy a vu le jour vendredi 1er juillet 2016. Spécialisé dans la production et la commercialisation des appareils solaires de grande qualité, Benin FGY Energy ouvre ses portes sous le regard admiratif d’une foule de curieux venue apprécier les produits innovants qu’offre le magasin.

Situé dans un somptueux immeuble en plein cœur de Cotonou,  en face de l’église Saint Michel, Benin FGY Energy, vise à promouvoir les nouvelles tendances dans le domaine de la production et de stockage de l’énergie solaire photovoltaïque à travers des produits innovants et de grande qualité.

Des produits de grande qualité

Divers produits sont à découvrir dans le magasin Benin FGY Energy de Cotonou. Il s’agit notamment des onduleurs solaires de différentes capacités, des batteries, des régulateurs, des radios, des lampadaires solaires et tout ceci à un prix défiant toute concurrence. Benin FGY Energy dispose également d’un système de pompage PV de grande performance. Plus besoin donc d’électricité conventionnelle pour les forages. Un système composé d’un tableau photovoltaïque, d’un onduleur et des pompes de différentes puissances et très efficaces contre la pollution sonore permet de satisfaire les besoins en eau. Benin FGY Energy met un point d’honneur à l’énergie verte pour la construction d’un nouveau concept de vie en vert.

Adopter les produits Benin FGY Energy

Au lancement des activités, la Directrice générale deBenin FGY Energy, NiuYwien et son assistant Dogo Gado Patrice ont exhorté le peuple béninois à adopter les produits Benin FGY Energy pour lutter contre la crise énergétique afin de favoriser un environnement sain gage de développement durable.

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